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Graphic Art Between Renaissance And Modernity L’artiste française Bénédicte Piccolillo, graphiste et street artiste, est le talent caché derrière Voglio Bene. Basée à Mauguio, dans le sud de la France, elle crée à partir de coups de cœur qu’elle a pu avoir sur de vieux tableaux de maîtres. Photographe de formation, l’artiste est autodidacte en création graphique numérique. « Je peux aussi bien tomber amoureuse d’une pièce du Moyen Âge que d’un tableau maniériste. Ma période préférée reste la Renaissance, surtout italienne, mais aussi espagnole. Elle regorge de tableaux religieux, tous plus beaux les uns que les autres, ce qui entretient et ravit mon côté spirituel » explique-t-elle. ...
National Geographic for the Defense of Whales in its May Issue Dans son numéro de mai 2021, National Geographic souhaite attirer l’attention des lecteurs sur la préservation des baleines et des environnements océaniques. Un numéro qui offre des solutions concrètes pour que chacun puisse contribuer dans son quotidien et prendre part au combat. Le numéro se fait en collaboration avec le Earth Day, le 21 avril, et la série Disney + Secrets of the Whales et met en avant Planet Possible, la nouvelle initiative de la revue, une newsletter et magazine entièrement dédiés aux enjeux environnementaux. Souscrivez à cette précieuse source d’inspiration et information par ici.
Beautiful Macramé by Barbudo Aborrecido Barbudo aborrecido, ou » Le Barbu ennuyé », « ressemble à un homme comme les autres. Mais quand le Barbu s’ennuie, il acquiert des superpouvoirs« , comme on peut le lire dans sa déclaration artistique. Et son super pouvoir est de créer des belles oeuvres, afin d’embellir les maisons des autres. Vasco (Manuel Santos Oliveira Águas), fait du tissage de macramé pour des clients privés ou pour des magasins ou des restaurants.Chacun d’entre eux s’intègre parfaitement dans son environnement et contribue à créer une atmosphère particulière.
Pour en décourir plus, rendez-vous sur son site internet, sa page facebook ou son compte Instagram.
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Illustrations about Daily Life by Nadia Valavani Nadia Valavani est l’illustratrice autodidacte à l’origine de « Old Brown Shoes Story ». Ses dessins colorés sont des représentations picturales de personnages dans différentes situations de la vie quotidienne, réalisées dans le style reconnaissable de l’artiste. Il est ainsi possible de voir une femme assise dans un bar près d’une fenêtre, au milieu de sa chambre ou en train de parler avec d’autres personnes. Parfois, l’artiste agrémente ses œuvres de mots ou de phrases. En voyant ces personnages, le spectateur se demande quelle est l’histoire qui va avec, à quoi il pense, de quoi il parle dans ce doux décor. Il ...
Through The Lens of Photographer Laura Lafon Amoureuse, être aimé et témoin de l’amour, la photographe Laura Lafon revêt ces statuts multiples au fil de ses images. Elle met au coeur de sa pratique photographique les différentes expressions d’un sentiment universel. Avec son regard résolument situé, elle affirme que l’amour et sa monstration par l’image fixe est politique. Son livre réalisé en 2013 et auto-publié en 2017, You could even die for not being a real couple, miroir sensible de son voyage au Kurdistan, signe le point de départ d’une exploration infini des formes que peut revêtir l’amour. L’amour devient, pour la photographe, un fil rouge qu’elle tisse entre sa vie personnelle et ...
Cute Pets Seen from Below Les pattes sont sans doute l’une des caractéristiques les plus mignonnes de nos animaux de compagnie, et grâce au photographe Andrius Burba, nous pouvons les observer de très près. Burba est connu pour son approche inhabituelle de la photographie d’animaux de compagnie : il photographie des chats, des chiens et même des chevaux par en dessous, alors qu’ils sont debout sur une table en verre. Sa série permanente, intitulée Underlook, offre une vue du ventre duveteux et des pattes rembourrées des animaux, ainsi que de leurs tempéraments adorables – et souvent hilarants. Jetez un oeil aux coulisses de ces shootings ...
Dreamy Landscapes by Caitlin Fullam Caitlin Fullam est une photographe de voyage et d’art vivant à Boulder, dans le Colorado. Cette aventurière parcourt le monde afin d’en partager la beauté. Spécialisée dans les paysages de rêve colorés, Caitlin créée des images qui vont vous plonger dans un doux monde au-delà de la réalité. La série « Loveland Pastel Sunrise » a été réalisée au lever du soleil en haut de Loveland Pass au Colorado. Elle capture les nuagesCait jouant à cache-cache avec les sommets des montagnes pour une série hypnotisante !
Mending Clothes for a Sustainable Fashion Ýr Jóhannsdóttir ou Ýrúrarí est une designer islandaise qui travaille principalement le textile. Tout en promouvant le slow fashion, elle crée des pièces tricotées qui s’apparentent à de véritables œuvres d’art.
Ýrúrarí s’intéresse particulièrement à la durabilité des vêtements en nous invitant à nous questionner sur nos habitudes absurdes de consommation textiles. L’artiste expérimente de nouvelles façons de faire durer les vêtements avec des pièces artistiques et des design uniques. Le plus souvent, ces pièces tricotés excentriques sont conçues à base de laine. Un projet créatif et éthique qui a beaucoup de mérite!
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Poetic Illustrations of Women Submerged In Water Sonia Alins est une artiste et illustratrice qui créée, entre autres, des oeuvres tridimensionnelles. Mar interior (Mer intérieure), l’une de ses expositions personnelles présentée à la galerie d’art Échale Guindas à Madrid, en Espagne, est une sélection d’œuvres avec lesquelles elle découvre « le côté le plus luxuriant, le plus brillant et le plus coloré de sa série Dones d’Aigua (Femmes d’eau) ». On peut y admirer des personnages, plus précisément des femmes, immergés dans une eau transparente mais floue. Ses pièces ont un aspect poétique et narratif, ce qui est de nature à stimuler l’imagination du spectateur.
Pour en découvrir plus ...
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Incredible Underwater Photographs by Bastien Soleil Originaire de Volvic, dans une région volcanique de France, Bastien Soleil n’a pas toujours été photographe mais son art s’est naturellement imposé à lui. D’abord designer, expert en marketing et en communication, l’artiste a changé de vie et de vision. C’est lors d’une première plongée en apnée en Thaïlande il y a six ans, que l’histoire d’amour entre lui et le monde sous-marin a commencé. Trois ans plus tard, il investissait dans un appareil photo et un boîtier adéquat, qui lui permettait d’en capturer la beauté. En résulte des clichés saisissants, qui appellent au lâcher prise, à l’abandon et à ...
Éco-responsabilité en déco: L’importance de faire le tri des déchets chimiques Et si pour démarrer l’année on se mettait au tri des déchets chimiques ? Voilà un thème pas très « déco » qu’on a tendance à mettre de côté. Pourtant c’est un sujet de grande importance.
Visite privée : S’inspirer d’une maison arty et colorée Venez découvrir une maison arty et colorée. Même les amateurs des intérieurs kinfolk assez blancs et nature seront agréablement surpris.
Une cuisine sur-mesure : comment bien choisir son plan de travail Elément phare de la cuisine, le plan de travail joue un rôle essentiel. D'un côté il apporte une touche déco, de l'autre, il fait le lien entre les différents équipements de cette pièce. Bien le choisir est essentiel pour une cuisine sur-mesure.
Mon expertise déco pour MéO, spécialiste français de la menuiserie sur-mesure. Elément négligé ou nouvelle lubie déco ? La porte d’entrée, premier élément que l’on voit en entrant, est aussi celui qui assure notre sécurité et nous préserve des bruits et des regards de l’extérieur. Longtemps négligée, la porte d’entrée retrouve aujourd’hui sa place de choix dans la maison.
Sifas, une Marque Française qui Prône l’esthétisme durable. Si vous passez par ici, vous savez que je reste fidèle envers les marques qui j’estime. C’est pour cela qu’aujourd’hui je fais un nouveau article autour de Sifas, une marque française qui prône l’esthétisme durable.…
Comment s’occuper de son linge de façon écologique et avec style S’occuper du linge n’est pas forcement l’une de mes activités préférées, ni un sujet que j’ai l’habitude de partager par ici. Pour vous dire la vérité, cela m’a interpellé depuis que j’ai commencé à m’intéresser…
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How We Designed Our Dream Yard - Apartment34
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Graphic Art Between Renaissance And Modernity
L’artiste française Bénédicte Piccolillo, graphiste et street artiste, est le talent caché derrière Voglio Bene. Basée à Mauguio, dans le sud de la France, elle crée à partir de coups de cœur qu’elle a pu avoir sur de vieux tableaux de maîtres. Photographe de formation, l’artiste est autodidacte en création graphique numérique. « Je peux aussi bien tomber amoureuse d’une pièce du Moyen Âge que d’un tableau maniériste. Ma période préférée reste la Renaissance, surtout italienne, mais aussi espagnole. Elle regorge de tableaux religieux, tous plus beaux les uns que les autres, ce qui entretient et ravit mon côté spirituel » explique-t-elle. Depuis quelques années, Bénédicte s’intéresse de plus en plus à l’histoire de l’art et veut donner une dimension plus culturelle à son travail. « Les châteaux et musées français commencent à être séduits et à me contacter pour lancer des collaborations« , explique-t-elle.
Pour en découvrir plus sur son travail et son univers artistique, rendez-vous sur son site internet ou son compte Instagram.
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National Geographic for the Defense of Whales in its May Issue
Dans son numéro de mai 2021, National Geographic souhaite attirer l’attention des lecteurs sur la préservation des baleines et des environnements océaniques. Un numéro qui offre des solutions concrètes pour que chacun puisse contribuer dans son quotidien et prendre part au combat. Le numéro se fait en collaboration avec le Earth Day, le 21 avril, et la série Disney + Secrets of the Whales et met en avant Planet Possible, la nouvelle initiative de la revue, une newsletter et magazine entièrement dédiés aux enjeux environnementaux. Souscrivez à cette précieuse source d’inspiration et information par ici.
Beautiful Macramé by Barbudo Aborrecido
Barbudo aborrecido, ou » Le Barbu ennuyé », « ressemble à un homme comme les autres. Mais quand le Barbu s’ennuie, il acquiert des superpouvoirs« , comme on peut le lire dans sa déclaration artistique. Et son super pouvoir est de créer des belles oeuvres, afin d’embellir les maisons des autres. Vasco (Manuel Santos Oliveira Águas), fait du tissage de macramé pour des clients privés ou pour des magasins ou des restaurants.Chacun d’entre eux s’intègre parfaitement dans son environnement et contribue à créer une atmosphère particulière.
Pour en décourir plus, rendez-vous sur son site internet, sa page facebook ou son compte Instagram.
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Illustrations about Daily Life by Nadia Valavani
Nadia Valavani est l’illustratrice autodidacte à l’origine de « Old Brown Shoes Story ». Ses dessins colorés sont des représentations picturales de personnages dans différentes situations de la vie quotidienne, réalisées dans le style reconnaissable de l’artiste. Il est ainsi possible de voir une femme assise dans un bar près d’une fenêtre, au milieu de sa chambre ou en train de parler avec d’autres personnes. Parfois, l’artiste agrémente ses œuvres de mots ou de phrases. En voyant ces personnages, le spectateur se demande quelle est l’histoire qui va avec, à quoi il pense, de quoi il parle dans ce doux décor. Il est temps d’interpréter et de laisser l’imagination travailler.
Pour en voir et en découvrir plus, rendez-vous sur son compte Instagram.
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Through The Lens of Photographer Laura Lafon
Amoureuse, être aimé et témoin de l’amour, la photographe Laura Lafon revêt ces statuts multiples au fil de ses images. Elle met au coeur de sa pratique photographique les différentes expressions d’un sentiment universel. Avec son regard résolument situé, elle affirme que l’amour et sa monstration par l’image fixe est politique. Son livre réalisé en 2013 et auto-publié en 2017, You could even die for not being a real couple, miroir sensible de son voyage au Kurdistan, signe le point de départ d’une exploration infini des formes que peut revêtir l’amour. L’amour devient, pour la photographe, un fil rouge qu’elle tisse entre sa vie personnelle et sa production d’images.
Comment s’est manifesté votre attrait pour la photographie ?
J’ai découvert la force de la photographie au travers des images que prenait mon premier amoureux de moi. Il m’aimait et aimait ce corps que j’avais appris à détester. Je souhaitais être désirée. Les photos étaient la preuve de ce sentiment, un bon exemple du male gaze en action.
À 19 ans je pars à Buenos Aires pour un stage et j’achète un appareil photo numérique. Grâce au boîtier, j’aborde des inconnus et je produis beaucoup de portraits. À mon retour, je pars à Bruxelles pour une formation diplômante à l’ESA le75. Elle m’est nécessaire pour me sentir légitime dans ma pratique de la photo. À ce moment-là, je pense m’orienter vers le photojournalisme. Finalement, je suis subjuguée par la magie de la chimie photographique, les livres photo et des manières différentes de faire récit.
De quel thème se nourrit votre premier travail d’images ?
C’est un retour dans mes racines paysannes aveyronnaises après un transfuge de classe. Naturellement, je m’y fait figurer, en autoportrait, pour tuer le temps, tuer l’ennui et transmettre la technique photo à mes cousins qui me prenaient pour modèle. Les images sont un mélange entre des photos couleur de moi et de mes jeunes cousins, avec des photos documentaires en noir et blanc sur la ferme et les pratiques culturelles de ma famille.
Où situez-vous votre pratique photographique ?
J’aime bien croire que je fais du documentaire, en ayant un point de vue situé, en parlant de ma propre expérience d’un territoire, de rencontres. Je ne crois pas en l’objectivité et encore moins dans le fait d’aller conquérir des sujets qui ne m’appartiennent pas. J’ai besoin de me déplacer, d’être dédiée à la pratique photographique. Une problématique très simple comme : « C’est quoi l’amour ? » m’inspire. Plus encore, ce sont plutôt les événements de ma vie qui écrivent la trame narrative de mes images.
Pourquoi l’amour est l’un des fils rouges majeur de votre travail ?
L’amour est le sujet vital, non ? “Sujet de bonne femme”, niais, léger de prime abord, l’amour est en fait politique. Je suis profondément amoureuse de l’amour et des histoires d’amour. L’assumer c’est revendiquer une quête du politique dans l’intime. C’est aussi une manière d’entrer en contact avec l’autre de façon universelle. Si les expressions de l’amour changent, nous sommes tous, à un moment, traversés par une des formes de l’amour.De vos séries You could even die for not being a real couple, qui donna un livre que vous auto-éditez, à votre ouvrage en préparation Aimer/Manger jusqu’à vos photographies prises au Chili où vous retrouvez, par hasard, votre premier amour ; vous capturez l’amour, que ce soit en croquant des proches et des rencontres au fil des voyages ou en incarnant vous-même la figure de l’amoureuse et de l’aimée.
Cette passion pour l’amour m’a fait voyagé un été en territoire kurde. Le combat pour l’indépendance kurde intègre la lutte contre le patriarcat, et je souhaitais questionner cette intersection des luttes, en demandant « What is love? » aux personnes rencontrées. Par hasard, je me suis retrouvée à voyager avec un plan cul, Martin Gallone. Ce couple que nous n’étions pas, a rapidement été questionné en retour. « You could even die for not being a real couple » est une phrase qu’on nous a dite à notre arrivée, quand on nous a demandé si nous étions mariés. Nous étions bien embêtés de répondre que nous n’étions même pas en couple ! Les autoportraits sont arrivés sans y réfléchir, pour jouer, pour performer ce faux couple, parfois marié, parfois libre. Finalement nous avons mis en image cette vision du couple français, icône de liberté, qui a même le privilège dans un pays qui n’est pas le sien d’avoir tous les droits. Les kurdes ont participé à ce jeu. Elles et ils ont posé pour nous. Elles et iels nous prenaient également en photo. C’est un échange pour tenter de se comprendre, pour questionner les archétypes culturels, la prétendue liberté de l’amour occidental face à des traditions patriarcales.
Dans Aimer/Manger je me fais inviter dans les cuisines de foyers de la Vallée du Thoré, dans le 81, pour discuter d’amour pendant la confection d’un repas. Proposer de cuisiner avec des gens est une invitation gaie, facile, pas trop engageante. Mais ce qui en ressort peut devenir très fort, entre la cuisson d’une poêlée du jardin et le confit de canard se racontent les parcours, les origines, les histoires d’amour bien sûr, mais aussi de travail, les ruptures de vie, les déceptions. En résulte une série de portraits et de récits du potager à l’assiette, pour tracer les contours de ce qui nous réunit toutes et tous dans nos différences et nos épreuves : aimer et manger.
Enfin, je suis partie au Chili en 2019. Une fougue révolutionnaire avait contaminé les réseaux grâce au mouvement de Las Tesis. J’avais aussi une intuition folle : j’allais croiser mon premier amour. Là-bas, j’ai mis en place une quête visuelle assez simple pour être guidée sans mettre trop d’attente : je suivais la couleur rouge. L’ambiance générale était très politisée, les villes étaient recouvertes de graffitis pour dénoncer la politique ultra-libérale de Pinera, pour demander une nouvelle constitution, les mouvements féministes, LGBTQ+, Vegan étaient hyper vivants. La jeunesse, endettée, sans travail, sans système de santé, est la première génération vivante à ne pas avoir vécu la dictature de Pinochet. Elle n’avait peur de rien. Je rencontrais beaucoup d’amoureuses et d’amoureux, qui luttaient pour faire tomber un monde que nous ne voulons plus. Au milieu de toute cette ambiance assez jubilatoire de fin du monde, je suis tombée sur mon premier amour. Par hasard.
Photographe, vous êtes aussi le modèle de vos propres images. Quelle volonté se cache derrière l’autoportrait ?
La photographie a participé à la construction de mon amour propre. D’abord dans les photographies que prenait mon premier amoureux quand nous avions 15 ans, puis dans la réappropriation de mon image grâce aux autoportraits. J’en ai notamment toute une collection que je ne publie pas. S’auto-portraitiser est un besoin. Regarder l’objectif est pour moi un sentiment très fort. Mais je fais aussi la différence entre mon image et ce que je suis en tant que personne. Quand je parle de You could even die for not being a real couple, il m’est arrivé de dire « elle » pour parler de mon personnage. La fiction et la réalité se mélangent.
J’ai cette phrase qui m’est venue et qui m’obsède : l’idée de « faire image ». C’est une sensation sublime, sentir que je suis l’espace d’un instant parfaitement installé dans un cadre, une mise en scène, une lumière, des couleurs, des vêtements, peu importe. La sensation provoque un état réjouissant qui n’appartient qu’à moi. Je me demande alors si c’est ce besoin de faire image qui me pousse à vivre certaines choses, ou si c’est parce que je vis certaines choses que je dois faire des images.
En mars 2020, je me retrouve par hasard confinée chez Lucas Castel, que j’ai daté deux fois. Nous tombons dans un état amoureux, je lui propose que l’on se marie dans le jardin, les voisins au balcon, pour fêter l’équinoxe de printemps et aussi… jouer à faire image. J’ai vécu ce mariage comme un sortilège et me suis sentie intensément miraculée pendant plusieurs semaines grâce à lui.
Vos ambitions photographiques se déploient aussi vers un travail plus collectif.
Aujourd’hui je travaille dans deux projets collectifs : Gaze, le magazine des regards féminins et des personnes non-binaires et Lusted Men, collection érotique de photographies érotiques d’hommes. Finalement, dans You could even die for not being a real couple, réalisé en 2013, germaient déjà ces deux sujets : le female gaze et l’érotisme des hommes.
Comment s’est manifesté votre attrait pour la photographie ?
J’ai découvert la force de la photographie au travers des images que prenait mon premier amoureux de moi. Il m’aimait et aimait ce corps que j’avais appris à détester. Je souhaitais être désirée. Les photos étaient la preuve de ce sentiment, un bon exemple du male gaze en action.
À 19 ans je pars à Buenos Aires pour un stage et j’achète un appareil photo numérique. Grâce au boîtier, j’aborde des inconnus et je produis beaucoup de portraits. À mon retour, je pars à Bruxelles pour une formation diplômante à l’ESA le75. Elle m’est nécessaire pour me sentir légitime dans ma pratique de la photo. À ce moment-là, je pense m’orienter vers le photojournalisme. Finalement, je suis subjuguée par la magie de la chimie photographique, les livres photo et des manières différentes de faire récit.
De quel thème se nourrit votre premier travail d’images ?
C’est un retour dans mes racines paysannes aveyronnaises après un transfuge de classe. Naturellement, je m’y fait figurer, en autoportrait, pour tuer le temps, tuer l’ennui et transmettre la technique photo à mes cousins qui me prenaient pour modèle. Les images sont un mélange entre des photos couleur de moi et de mes jeunes cousins, avec des photos documentaires en noir et blanc sur la ferme et les pratiques culturelles de ma famille.
Où situez-vous votre pratique photographique ?
J’aime bien croire que je fais du documentaire, en ayant un point de vue situé, en parlant de ma propre expérience d’un territoire, de rencontres. Je ne crois pas en l’objectivité et encore moins dans le fait d’aller conquérir des sujets qui ne m’appartiennent pas. J’ai besoin de me déplacer, d’être dédiée à la pratique photographique. Une problématique très simple comme : « C’est quoi l’amour ? » m’inspire. Plus encore, ce sont plutôt les événements de ma vie qui écrivent la trame narrative de mes images.
Pourquoi l’amour est l’un des fils rouges majeur de votre travail ?
L’amour est le sujet vital, non ? “Sujet de bonne femme”, niais, léger de prime abord, l’amour est en fait politique. Je suis profondément amoureuse de l’amour et des histoires d’amour. L’assumer c’est revendiquer une quête du politique dans l’intime. C’est aussi une manière d’entrer en contact avec l’autre de façon universelle. Si les expressions de l’amour changent, nous sommes tous, à un moment, traversés par une des formes de l’amour.De vos séries You could even die for not being a real couple, qui donna un livre que vous auto-éditez, à votre ouvrage en préparation Aimer/Manger jusqu’à vos photographies prises au Chili où vous retrouvez, par hasard, votre premier amour ; vous capturez l’amour, que ce soit en croquant des proches et des rencontres au fil des voyages ou en incarnant vous-même la figure de l’amoureuse et de l’aimée.
Cette passion pour l’amour m’a fait voyagé un été en territoire kurde. Le combat pour l’indépendance kurde intègre la lutte contre le patriarcat, et je souhaitais questionner cette intersection des luttes, en demandant « What is love? » aux personnes rencontrées. Par hasard, je me suis retrouvée à voyager avec un plan cul, Martin Gallone. Ce couple que nous n’étions pas, a rapidement été questionné en retour. « You could even die for not being a real couple » est une phrase qu’on nous a dite à notre arrivée, quand on nous a demandé si nous étions mariés. Nous étions bien embêtés de répondre que nous n’étions même pas en couple ! Les autoportraits sont arrivés sans y réfléchir, pour jouer, pour performer ce faux couple, parfois marié, parfois libre. Finalement nous avons mis en image cette vision du couple français, icône de liberté, qui a même le privilège dans un pays qui n’est pas le sien d’avoir tous les droits. Les kurdes ont participé à ce jeu. Elles et ils ont posé pour nous. Elles et iels nous prenaient également en photo. C’est un échange pour tenter de se comprendre, pour questionner les archétypes culturels, la prétendue liberté de l’amour occidental face à des traditions patriarcales.
Dans Aimer/Manger je me fais inviter dans les cuisines de foyers de la Vallée du Thoré, dans le 81, pour discuter d’amour pendant la confection d’un repas. Proposer de cuisiner avec des gens est une invitation gaie, facile, pas trop engageante. Mais ce qui en ressort peut devenir très fort, entre la cuisson d’une poêlée du jardin et le confit de canard se racontent les parcours, les origines, les histoires d’amour bien sûr, mais aussi de travail, les ruptures de vie, les déceptions. En résulte une série de portraits et de récits du potager à l’assiette, pour tracer les contours de ce qui nous réunit toutes et tous dans nos différences et nos épreuves : aimer et manger.
Enfin, je suis partie au Chili en 2019. Une fougue révolutionnaire avait contaminé les réseaux grâce au mouvement de Las Tesis. J’avais aussi une intuition folle : j’allais croiser mon premier amour. Là-bas, j’ai mis en place une quête visuelle assez simple pour être guidée sans mettre trop d’attente : je suivais la couleur rouge. L’ambiance générale était très politisée, les villes étaient recouvertes de graffitis pour dénoncer la politique ultra-libérale de Pinera, pour demander une nouvelle constitution, les mouvements féministes, LGBTQ+, Vegan étaient hyper vivants. La jeunesse, endettée, sans travail, sans système de santé, est la première génération vivante à ne pas avoir vécu la dictature de Pinochet. Elle n’avait peur de rien. Je rencontrais beaucoup d’amoureuses et d’amoureux, qui luttaient pour faire tomber un monde que nous ne voulons plus. Au milieu de toute cette ambiance assez jubilatoire de fin du monde, je suis tombée sur mon premier amour. Par hasard.
Photographe, vous êtes aussi le modèle de vos propres images. Quelle volonté se cache derrière l’autoportrait ?
La photographie a participé à la construction de mon amour propre. D’abord dans les photographies que prenait mon premier amoureux quand nous avions 15 ans, puis dans la réappropriation de mon image grâce aux autoportraits. J’en ai notamment toute une collection que je ne publie pas. S’auto-portraitiser est un besoin. Regarder l’objectif est pour moi un sentiment très fort. Mais je fais aussi la différence entre mon image et ce que je suis en tant que personne. Quand je parle de You could even die for not being a real couple, il m’est arrivé de dire « elle » pour parler de mon personnage. La fiction et la réalité se mélangent.
J’ai cette phrase qui m’est venue et qui m’obsède : l’idée de « faire image ». C’est une sensation sublime, sentir que je suis l’espace d’un instant parfaitement installé dans un cadre, une mise en scène, une lumière, des couleurs, des vêtements, peu importe. La sensation provoque un état réjouissant qui n’appartient qu’à moi. Je me demande alors si c’est ce besoin de faire image qui me pousse à vivre certaines choses, ou si c’est parce que je vis certaines choses que je dois faire des images.
En mars 2020, je me retrouve par hasard confinée chez Lucas Castel, que j’ai daté deux fois. Nous tombons dans un état amoureux, je lui propose que l’on se marie dans le jardin, les voisins au balcon, pour fêter l’équinoxe de printemps et aussi… jouer à faire image. J’ai vécu ce mariage comme un sortilège et me suis sentie intensément miraculée pendant plusieurs semaines grâce à lui.
Vos ambitions photographiques se déploient aussi vers un travail plus collectif.
Aujourd’hui je travaille dans deux projets collectifs : Gaze, le magazine des regards féminins et des personnes non-binaires et Lusted Men, collection érotique de photographies érotiques d’hommes. Finalement, dans You could even die for not being a real couple, réalisé en 2013, germaient déjà ces deux sujets : le female gaze et l’érotisme des hommes.
Cute Pets Seen from Below
Les pattes sont sans doute l’une des caractéristiques les plus mignonnes de nos animaux de compagnie, et grâce au photographe Andrius Burba, nous pouvons les observer de très près. Burba est connu pour son approche inhabituelle de la photographie d’animaux de compagnie : il photographie des chats, des chiens et même des chevaux par en dessous, alors qu’ils sont debout sur une table en verre. Sa série permanente, intitulée Underlook, offre une vue du ventre duveteux et des pattes rembourrées des animaux, ainsi que de leurs tempéraments adorables – et souvent hilarants. Jetez un oeil aux coulisses de ces shootings animaliers sur la chaîne YouTube du photographe et rendez-vous sur le bookshop de My Modern Met pour vous procurer le livre Under Dog.
Dreamy Landscapes by Caitlin Fullam
Caitlin Fullam est une photographe de voyage et d’art vivant à Boulder, dans le Colorado. Cette aventurière parcourt le monde afin d’en partager la beauté. Spécialisée dans les paysages de rêve colorés, Caitlin créée des images qui vont vous plonger dans un doux monde au-delà de la réalité. La série « Loveland Pastel Sunrise » a été réalisée au lever du soleil en haut de Loveland Pass au Colorado. Elle capture les nuagesCait jouant à cache-cache avec les sommets des montagnes pour une série hypnotisante !
Mending Clothes for a Sustainable Fashion
Ýr Jóhannsdóttir ou Ýrúrarí est une designer islandaise qui travaille principalement le textile. Tout en promouvant le slow fashion, elle crée des pièces tricotées qui s’apparentent à de véritables œuvres d’art.
Ýrúrarí s’intéresse particulièrement à la durabilité des vêtements en nous invitant à nous questionner sur nos habitudes absurdes de consommation textiles. L’artiste expérimente de nouvelles façons de faire durer les vêtements avec des pièces artistiques et des design uniques. Le plus souvent, ces pièces tricotés excentriques sont conçues à base de laine. Un projet créatif et éthique qui a beaucoup de mérite!
Ýrúrarí s’intéresse particulièrement à la durabilité des vêtements en nous invitant à nous questionner sur nos habitudes absurdes de consommation textiles. L’artiste expérimente de nouvelles façons de faire durer les vêtements avec des pièces artistiques et des design uniques. Le plus souvent, ces pièces tricotés excentriques sont conçues à base de laine. Un projet créatif et éthique qui a beaucoup de mérite!
Poetic Illustrations of Women Submerged In Water
Sonia Alins est une artiste et illustratrice qui créée, entre autres, des oeuvres tridimensionnelles. Mar interior (Mer intérieure), l’une de ses expositions personnelles présentée à la galerie d’art Échale Guindas à Madrid, en Espagne, est une sélection d’œuvres avec lesquelles elle découvre « le côté le plus luxuriant, le plus brillant et le plus coloré de sa série Dones d’Aigua (Femmes d’eau) ». On peut y admirer des personnages, plus précisément des femmes, immergés dans une eau transparente mais floue. Ses pièces ont un aspect poétique et narratif, ce qui est de nature à stimuler l’imagination du spectateur.
Pour en découvrir plus rendez-vous sur son site internet ou sur son compte instagram.
Pour en découvrir plus rendez-vous sur son site internet ou sur son compte instagram.
Incredible Underwater Photographs by Bastien Soleil
Originaire de Volvic, dans une région volcanique de France, Bastien Soleil n’a pas toujours été photographe mais son art s’est naturellement imposé à lui. D’abord designer, expert en marketing et en communication, l’artiste a changé de vie et de vision. C’est lors d’une première plongée en apnée en Thaïlande il y a six ans, que l’histoire d’amour entre lui et le monde sous-marin a commencé. Trois ans plus tard, il investissait dans un appareil photo et un boîtier adéquat, qui lui permettait d’en capturer la beauté. En résulte des clichés saisissants, qui appellent au lâcher prise, à l’abandon et à la foi. « Je crois en la Liberté, non pas la liberté d’agir de manière insensée, mais la Liberté d’être libéré de son propre passé et de son histoire, de tout ce que l’on pense qui nous limite. Avec l’aide de l’Eau, j’ai réalisé que nous sommes illimités, c’est une question d’énergie et de lâcher prise. », explique-t-il.
Son univers artistique reconnaissable offre à voir un monde rempli de merveilles, où les chatoyants rayons du soleil épousent et subliment les corps qu’il photographie. Le gracieux mouvement des modèles, en apesanteur, est saisie par l’appareil photo sans pourtant donner l’impression d’être figé. Les œuvres de Bastien Soleil rappellent souvent l’esthétisme des peintures classiques, avec un aspect parfois dramatique. Toutes ses photographies sont réalisées en apnée et sans assistance aérienne ni masque pour les modèles. Une véritable performance qu’il accomplit avec brio et qui nécessite un travail rapide puisque le temps de prise de vue dure moins de 30 secondes. Son travail a été exposé en France et dans le monde et sa vidéo Tang’o, également relayée de façon internationale, vient de recevoir le prix du « meilleur court métrage étranger », qui lui a été décerné par le London Independant Film Awards.
Pour découvrir plus de son poétique travail, rendez-vous sur son site internet, son Facebook ou son compte Instagram.
Son univers artistique reconnaissable offre à voir un monde rempli de merveilles, où les chatoyants rayons du soleil épousent et subliment les corps qu’il photographie. Le gracieux mouvement des modèles, en apesanteur, est saisie par l’appareil photo sans pourtant donner l’impression d’être figé. Les œuvres de Bastien Soleil rappellent souvent l’esthétisme des peintures classiques, avec un aspect parfois dramatique. Toutes ses photographies sont réalisées en apnée et sans assistance aérienne ni masque pour les modèles. Une véritable performance qu’il accomplit avec brio et qui nécessite un travail rapide puisque le temps de prise de vue dure moins de 30 secondes. Son travail a été exposé en France et dans le monde et sa vidéo Tang’o, également relayée de façon internationale, vient de recevoir le prix du « meilleur court métrage étranger », qui lui a été décerné par le London Independant Film Awards.
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